La boxe est un sport qui traverse le temps. Au XXIe siècle, elle a connu une forte féminisation avec des champions comme Anissa Meksen, Sarah Ourahmoune et Amira Hamzaoui. Cependant, il existe différentes boîtes avec leurs propres gestes.
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La boxe française, un sport 100% français
Datant du XIXe siècle, la boxe française est aussi appelée savata. Cette boxe se caractérise par son caractère « amateur ». Afin de préserver la beauté de ce sport et de ne pas le vicier d’argent, la fédération française de boxe refuse de professionnaliser ses praticiens. D’abord pratiquée en combinaison, puis avec un haut et un bas serrés, cette boxe est divisée en assaut (les coups sont simplement des touches) ou combat (avec la possibilité de coups). La boxe française mobilise les jambes avec chassé, fouetté et revers. Si elle partage avec la boxe anglaise les mouvements des bras : direct, crochets et uppercuts, cela implique un mouvement enflé des pieds.
Boxe anglaise et thaï boxe
Représentée aux Jeux Olympiques, la boxe anglaise est enracinée dans l’histoire. Ainsi, le premier grand champion de cette discipline fut le poids lourd James Figg. Moins aérienne que la boxe française, la boxe anglaise est basée sur les impacts au niveau du corps. Il est pratiqué en short. Pour gagner par KO, le combattant peut opter pour un coup de poing dans le foie ou dans la mâchoire. La boxe thaïlandaise se distingue des autres boîtes car elle incorpore des coups traditionnellement interdits tels que les coudes et les genoux.
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